LE POUVOIR GUERISSEUR DES ANGES
Extrait
Extrait de l'introduction
Un jour où je terminais la lecture du livre de Michel Coquet, Dévas ou les mondes vas écrire un livre sur les Anges.» Tout de suite, je me suis dit : «Ce n'est pas vrai, je viens juste de terminer celui sur le Reiki ! Je ne me sens pas prête à en commencer un autre maintenant !»
J'ai donc demandé une trêve aux Anges. Nous étions au mois de mai et je leur ai proposé un répit jusqu'à la fin du mois d'août. Le mois de juillet n'était pas encore terminé que je commençais à recevoir toutes sortes de livres sur les Anges.
Un jour où j'étais invitée au Nouveau-Brunswick, les gens qui m'ont accueillie à Bathurst m'ont offert un superbe Ange. Pendant la rédaction de ce livre, ces dons se sont poursuivis. J'avoue en être très heureuse. Maintenant, grâce à tous ces gens, j'ai une belle petite collection d'Anges dont je raffole !
Les Anges se sont insinués en moi d'une façon très subtile et merveilleuse. À maintes reprises, j'avais eu l'intuition d'offrir aux gens qui venaient vers moi l'occasion de connaître le nom de leur Ange. Je possède un livre de Haziel intitulé Rituels et Prières. Dans cet ouvrage, on peut trouver le nom de l'Ange de la journée de notre naissance et la prière que nous devrions lui adresser. Chaque fois que j'ai lu la prière à l'Ange en question, le texte était vraiment en rapport avec ce que la personne concernée vivait à ce moment-là !
C'était fascinant ! Fait encore plus étonnant : lorsque je voulais donner ce genre d'information à quelqu'un, seulement pour le plaisir de la chose, cela ne fonctionnait jamais ! J'ai trouvé cela très mystérieux. On aurait dit que mon action était efficace seulement lorsque c'était la volonté des Anges.
Alors, je me suis mise à réfléchir à mes propres expériences avec eux. Avais-je expérimenté leur présence ? J'ai fouillé dans ma mémoire et j'ai découvert qu'à l'âge de seize ans, j'avais fait de l'auto-stop et je m'étais fait agresser par le conducteur. Après m'être débattue pendant un certain temps, je réussis à sortir de la voiture, les vêtements tout déchirés et en sanglots. Je courus affolée jusqu'à ce qu'un bon Samaritain