JE ME SOUVIENS DE L'IMPERMEABLE ROUGE QUE JE PORTAIS L'ETE DE MES VINGT ANS
Résumé :
Les habits collent à la peau. Ils nous protègent et nous exposent. Le vêtement qui happe le regard social trahit notre part d'ombre. Les hommes et les femmes ne sont pas égaux dans cette course aux apparences. Dans ce livre Lydia Flem raconte les vêtements de ses souvenirs. Sur un mode ludique, elle poursuit sa quête de l'intime en adoptant une forme devenue classique depuis les Je me souviens de Georges Perec dans les années 1970.
Cette forme, Perec l'a métamorphosée après l'avoir empruntée à l'artiste américain Joe Brainard, ami de son ami Harry Mathews. De la petite fille à l'amante, de la séductrice à la militante des droits de la femme et des LGBT